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délicieux souvenirs
Comme beaucoup ici, un récit remontant à l’époque de mes premières sensations provoquées par de jeunes pieds féminins….
Depuis des années, à l’adolescence je pense, je ressens une attirance quasi incontrôlée pour les jeunes pieds féminins.
Ils sont à eux seuls un condensé d’innocence et de sensualité qu’il m’est difficile d’expliquer, même si je sais que nous sommes,
de par ce que j’ai pu constater à travers mes explorations sur le net, finalement très nombreux.
Chaque détail de cette délicieuse partie du corps des jeunes filles est un petit morceau de perfection, des délicats orteils,
une plante admirablement courbée, un tendre petit talon menant à une fine et fragile cheville….je pourrais passer des heures
à admirer et décrire de jeunes et jolis petons de filles!
Evidemment ils sont tous uniques, à l’image de celles qui ont le bonheur, sans le savoir souvent, de voir leurs belles jambes
descendre jusqu’à l’objet de mes fantasmes!
Une grande et fine adolescente blanche, ou bien une plus petite et pulpeuse métisse, chacune peut avoir de très différents,
mais néammoins magniques pieds.
Bien sûr mon imagination ne s’arrête pas à ces belles images poétiques, que j’écris en toute franchise cependant.
Mes régulières séances de masturbation font que mon esprit passe inmanquablement par de douces et excitantes scènes,
dans lesquelles je peux donner libre court à tous mes désirs, m’imaginant lécher chacun des jeunes orteils,
utiliser les fraiches plantes de pieds pour y glisser mon sexe si dur, et éjaculer sur ces pieds, la jeunette couchée
sur le ventre, ses petons relevés m’offrant leur côté le plus tendre.
Je n’ai jamais eu la chance de pouvoir vivre en réel un tel moment, mais une seule fois, j’ai pu m’en approcher.
La rencontre fortuite d’une magnifique adolescente aujourd’hui chez le coiffeur m’a tout de suite mis dans un état d’excitation,
et comme à chaque fois dans ces circinstances, ce souvenir me revient à l’esprit.
Je devais avoir vers les douze ans, et cela se passe chez ma grand mère chez qui nous passions souvent les grandes vacances
avec mon petit frère, je vous raconterai peut-être les petits jeux très spéciaux que nous avions à cette époque…
Il y avait là également notre tante, les hasards de la vie ont fait que nous avons le même âge, à quelques mois près,
ma grand-mère l’ayant eu assez tard.
Nous jouyons évidemment toujours ensemble, et à cette époque précise je me souviens que les amusements entre moi et ma tante
se sont quelque peu transformés. Nous étions plus souvent isolés, cherchant à travers d’innocentes activités à avoir des
contacts plus rapprochés, plus longs, et avec des parties de nos corps que nous n’utilisions pas avant.
Je reviens à cette belle ado vue cet après midi au salon, attendant après mon shampoing.
Grande pour son âge, à priori 12-13, fine et délicate dans sa robe fleurie assez courte laissant voir le beau spectacle
de ses cuisses légères, dont la peau semblait être de la soie. Une peau blanche, diaphane, un visage mélant la beauté de
l’enfance et le début de la féminité adulte. Un petit haut court couvrant une petite poitrine, sans soutien gorge.
Ses petits tétons étaient assez visibles. De longs cheveux clairs, ondulés et des yeux bleus magnifiques.
Il est évidemment difficile de laisser mon regard trop longtemps sur le corps de cette splandide jeune créature,
mais je ne peux m’empêcher d’orienter mon regard vers le sol, vers ses pieds que j’attendais déjà impatiemment
de dévorer des yeux.
Le temps se figea alors, me laissant pantois devant cet extraordinaire spectacle! Elle portait de très légères sandales,
ne recouvrant quasiment pas la délicate peau recouvrant ses délicieux petons. Souvent, les pieds sont à l’image de leurs « propriétaires »,
c’était le cas ici. Ils étaient longs, fins, délicats, se terminant sur des orteils tout aussi longs et efilés, dans leur
blancheur virginale. J’eu immédiatement la terrible envie de les mettre dans ma bouche affamée, savourant leur fraiche
saveur en les entourant de ma langue, puis de lécher ses plantes qu’elle offrait involontairement à ma vue en cambrant ses pieds
dans ses sandales.
Ce fut un effort incroyable pour moi de ne pas me faire remarquer, mes yeux voulant retourner vers cette délicieuse vision.
Je fus d’ailleurs un instant jaloux de son père qui l’accompagnait, me demandant si parfois des pensées interdites ne
traversaient pas son esprit. M’imaginant à sa place, au quotidien avec cette adorable et excitante jeunette, un calvaire!
Mais retour au passé, vers cette unique fois où j’ai pu vivre cette extraordinaire sensation d’avoir de jeunes pieds offerts
à ma bouche. Donc, les jeux devenaient assez particuliers, excitants et génant à la fois entre moi et ma tante du même âge.
Profitant de moments seuls, nous nous retrouvions parfois dans son lit, jouant à la famille, ordonnant à mon petit frère,
censé être notre enfant, d’aller se coucher dans la chambre à côté. Dans ces instants particuliers, nous ressentions alors
une excitation alors inconnue pour nous, enlevions sans presque le vouloir nos vêtements, et mimant des actes de grands,
frottant nos corps, nos sexes l’un contre l’autre. C’était le premier sexe féminin que je voyais, les filles étant souvent
en avance, la présence de légers poils m’impressionnait et m’excitait! Quant à moi, mon pénis petit à cette époque était
bien sûr au plus dur de ce qu’il n’avait jamais été! Mes premières branlettes avaient déjà eu lieu.
Nous n’allions jamais plus loin que ces frottements sensuels, mais une fois, une seule, je me suis laissé emporter par
mon excitation, ai descendu mon visage vers ses petits pieds et ai gobé ses orteils.
Elle fut si surprise qu’elle mit un moment à réagir : »qu’est ce tu fais? C’est bizarre! » Je restais sourd à ces timides
remarques, continuait de dévorer ses oretils, de lécher ses plantes tant que je le pouvais avant qu’elle ne décide d’y mettre fin.
« J’adore tes pieds » répondis-je dans un souffle. Puis cédant totalement, je prenais une pose différente me permettant de toucher
ses pieds avec mon pénis raidi. Elle eut un rire à la fois excité, étonné et moqueur. Je frottais ma petite queue sur la pulpe
de ses orteils, sur la fine peau de ses plantes. Dans ces conditions, les choses arrivèrent vite, j’éjaculais quelques gouttes
sur ses orteils.
Nous restâmes silencieux pendant quelques secondes, j’étais déjà honteus et elle, surprise et un peu dégoutée je pense.
« T’es dégueulasse! » s’exclamait-elle, trouvant un kleenex sur la table de nuit et s’essuyant.
« Bon je vais me nettoyer… » elle sortit de la chambre sans un autre mot. J’étais pour ma part partagé entre la honte et
l’excitation toujours présente de ce merveilleux moment.
Nous n’avons plus eu nos petits jeux spéciaux depuis cet épisode, et ne l’avons évoqué qu’en de rares fois à demi mot, et
plus jamais une fois adultes.
Ce désir envers les pieds des jeunes filles est toujours aussi présent, et vivant sous les tropiques, les occasions d’admirer
des jeunettes aux pieds nus sont bien sûr nombreuses. C’est même parfois un enfer, lors de réunions en famille, entre amis,
les filles des uns et des autres grandissant, devenant sources de tellement d’agitations dans mon crane et mon caleçon!
Jusqu’à aujourd’hui, je réussi à rester raisonnable.
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